Une heure et demie du matin, vacances scolaires pour toi, fin de vacances tout court pour moi.
Et une furieuse envie de t’écrire ma fille aussi furieuse que mon envie de dormir qui joue à cache cache. Envie d’écrire aux parents, aux enfants, envie d’écrire à tout ceux que la situation peut bousculer, de temps à autre…
Quand je t’écris, ma fille, ça sort mieux, ça sonne mieux.
Parce qu’un blog est destiné à être lu, parce qu’on peut tomber dessus en faisant des recherches thématiques via des moteurs spécifiques, on se devait de mettre notre tout petit caillou à l’édifice. Parce qu’on vit une drôle d’époque et que tout est actuellement pensé et réalisé en fonction de la crise sanitaire.
Ce soir, je réfléchissais, à tout, à l’actualité… Mais aussi à qu’est ce qui fait que parfois, c’est si compliqué dans cette relation parent-enfant, dans ce développement, dans ces sentiments d’amour fou et d’épuisement passionnés… C’est si compliqué de grandir, de grandir en 2020…
Et des infimes éléments de réponses, arrivent, tout simplement…